Atypisme, dys, haut potentiel, TDAH

Parent d’enfant TDA/H, HPI, multi dys, hypersensible… : témoignage

Très tôt, il a refusé de faire des siestes, le sommeil a toujours été compliqué et l’est toujours après 9 ans, l’envie de sauter, grimper, bouger est toujours plus forte à celle de se poser et se calmer. A deux ans, les crises étaient telles qu’elles dépassaient souvent 10 par jour. Il a été très difficile à ce moment-là de gérer les crises, les problèmes de garde, le travail…

Dès la moyenne section de maternelle, les ennuis à l’école ont commencés : tellement agité, la directrice n’a rien trouvé de mieux que lui donner deux claques, la maîtresse ne savait tellement pas gérer qu’elle lui a donné comme appréciation NUL au deuxième semestre… L’entrée en CP a été très compliquée même si un test WISC5 avait été passé et la dyslexique s’est vite dévoilée. Le CE1 s’est soldé par un échec et terminé par un début de phobie scolaire tellement la bienveillance n’était pas au rendez-vous de l’école et le harcèlement par certains élèves s’y ai rajouté. C’est dans cette lignée que l’entrée au CE2 s’est poursuivie pour y retrouver la même enseignante qu’en CP. Et là, c’est l’humiliation qui a été au rendez-vous en le plaçant au fond de la classe et en demandant à tous les élèves de ne pas l’approcher pendant les récréations. Sa maman a alors décidé de le radier de cette école. Elle l’inscrit alors chez Montessori mais à nouveau c’est la douche froide : l’institutrice hurlait sur les enfants et pire, elle a demandé à l’enfant de faire des efforts pour montrer à tous les praticiens qui le suivent et ses parents qu’il n’est pas dyslexique car selon elle : « Il n’est pas dyslexique… ». A nouveau, c’est le refus de l’école et le mal au ventre qui l’emportent le matin avant de partir. C’est alors qu’une opportunité s’est présentée d’intégrer une école dans une ville voisine et cette fois, enfin, pour la première fois en 6 ans de scolarité, que ses spécificités sont prises en compte avec bienveillance. Un chemin long mais il est important, voire primordial d’insister sur le fait que ces enfants, bien plus que d’autres, ont besoin d’être entendus, compris et d’aller dans leurs sens tout en posant un cadre. Puis arriva le CM1 avec une nouvelle tentative d’ESS et l’ouverture d’un nouveau dossier MDPH pour accompagner sa dysgraphie avec l’aide d’un ordinateur. Mais les retours sont tellement longs que la rentrée arrive et aucun retour à l’horizon du dossier après 5 mois d’envoi (pas même un accusé réception)… En CM1 les retours de fin d’année était pas intéressé, ne participe pas… L’adaptation des professeurs à ce genre de cas est difficile et les demandes des neuropédiatres sont encore trop peu prises en compte.

Afin d’aider à la fois les enfants et les parents, la prise en charge en sophrologie se fait de manière ludique et l’insistance sur des exercices favorisant le mouvement leur permet de « décharger » pour améliorer la concentration, un retour au calme plus rapide et la prise de conscience de leur corps en mouvement et stabilisé.

Pour une prise en charge de votre enfant, n’hésitez pas à me contacter au 06 98 66 86 70 en toute bienveillance.

mutuelle

Les mutuelles qui remboursent la sophro

Rares sont les mutuelles qui acceptent de prendre en compte les remboursements de sophrologie. Voici la liste non exhaustive de celles qui pratiquent les remboursements sur plusieurs séances :

Je suis personnellement membre du réseau santéclair (https://www.santeclair.fr) du fait de mon adhésion au SSP (syndicat des sophrologue professionnels) et à la FEPS (Fédération des écoles professionnelles en sophrologie).

Cette liste n’est pas exhaustive et est susceptible d’être modifiée dans la mesure où des discussions sont en cours pour élargir les remboursements.

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ados

Fortnite et les ados

Fortnite est un jeu vidéo en « Battle Royal » qui propose de nombreux modes pour tous types de joueurs et a l’énorme avantage d’être gratuit, ce qui attire encore plus de joueurs. Il touche 250 millions d’adeptes. Avec le temps, les addictions sont de plus en plus présentes. Sabine Duflo, auteure du livre Il ne décroche pas des écrans (Marabout Poche) évoque des « mécanismes bien élaborés de rétention de l’attention ».

Le fait que ce jeu soit une vraie drogue :

  • Il est jouable sur ordinateur, smartphone et console.
  • Il offre ce que recherche son utilisateur : le flow. C’est ainsi qu’on nomme la satisfaction du joueur de jeu vidéo.
  • L’aspect compétition marche toujours, c’est excitant.
  • Fortnite surfe sur un type de jeu à la mode : la Battle Royale. Et il évolue constamment.
  • On y joue en groupe, un peu comme un paintball virtuel. Ce phénomène de bande, de communauté, est important chez l’ado. Le jeu continue dans les cours de récré.
  • Il existe une part de rêve, avec l’organisation de compétitions avec des gains. Certains joueurs sont même devenus professionnels. Cela participe au succès du jeu.

L’addiction s’étale entre 12 et 20 ans mais la moyenne d’âge ne cesse de s’abaisser : 12-13 ans actuellement.

Les signes de la dépendance sont une perte de contrôle (endormissement en classe, n’assiste pas aux repas en famille, n’a que des copains virtuels, abandonne l’école pour jouer…).

Les parents sont souvent désespérés face à la situation et des thérapies familiales peuvent être proposées pour restaurer le lien parent/enfant. La sophrologie peut d’ailleurs venir en complément de ces thérapies.

Ce sont souvent des enfants fragiles qui sont concernés et il peut même arriver que certains soient hospitalisés si l’adolescent n’a plus d’autre source de plaisir que le jeu.

L’addiction aux jeux video n’est reconnu par l’OMS que depuis 2018. Un énorme travail reste encore à faire.

Si dans votre entourage vous rencontrez ce problème, je peux vous accompagner. Vous pouvez me joindre au 06 98 66 86 70.

Information

A l’honneur dans Le Républicain de L’Essonne

Je remercie chaleureusement Cicéron Angledroit pour son article présentant mon activité dans Le Républicain de l’Essonne du jour. C’est avec intérêt que j’ai répondu à ses questions sur mon activité à laquelle j’ai rajouté depuis le massage bien-être et la pratique du TTT (Traitement du trauma par tapotements). Pour une séance de sophrologie, un massage ou du TTT, n’hésitez pas à me contacter au 06 98 66 86 70 pour prendre rendez-vous.

Le Républicain de l’Essonne du 18 mars 2021
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Quand confinement et écrans vont de paire

Depuis début mars, les temps d’écrans ont beaucoup augmenté chez les enfants et les adolescents. Ainsi, les services d’addictologie ont vu une recrudescence de cas. Des ados qui jouaient en ligne jusqu’à 7 heures d’affilée. Dans ce cas, c’est l’isolement, la perte de repères… Seuls les jeux vidéo ne sont pas en cause de ce phénomène mais également les heures passées devant des films, séries, réseaux sociaux. Pour une meilleure qualité de sommeil, il est recommandé d’éteindre les écrans au moins une heure avant le coucher, de limiter la consommation d’excitants. Le sommeil se prépare dès le début de sa journée avec une activité adaptée. Si vos ont ados ont des difficultés de sommeil, n’hésitez pas à me contacter et prendre rendez-vous. Je peux vous proposer des solutions.

Source : https://www.lemonde.fr/sciences/article/2021/02/23/enfants-confines-les-ecrans-sement-les-troubles_6070916_1650684.html

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Le burn-out parental, un sujet encore tabou

Après la diffusion de l’émission Zone Interdite du 7 février dernier (https://www.stars-actu.fr/2021/02/zone-interdite-du-dimanche-7-fevrier-2021-sommaire-et-reportages-de-ce-soir/) sur le sujet, plusieurs parents se sont reconnus dans ce sentiment. Certains en arrivent à craquer tellement la pression est forte. Il peut arriver d’entendre « Je crie après les enfants pour rien. Je leur dis que j’ai envie de faire mes valises, de me tuer pour être tranquille. » ou encore « Je pleurais sous la douche pour que personne ne me voie. Ma famille n’est pas au courant de tout ça. » Ces cas ne sont pas rares et ces personnes surchargées par la pression de la société, le besoin d’être la meilleure mère ou père, le meilleur au travail… entrainent une surcharge mentale telle que les parents craquent. Et si nous en revenions à la gestion des émotions au fur et à mesure et à l’ici et maintenant pour éloigner cette pression. Si vous ou quelqu’un de votre entourage est dans ce cas, n’hésitez pas à consulter en sophrologie. Il s’agit d’une méthode naturelle qui vous permettra de gérer au mieux la situation. Pour prendre rendez-vous, vous pouvez me contacter au 06 98 66 86 70.

crise sanitaire, enfants, sport

En l’absence de sport, les méninges des enfants sont en danger

Alors qu’entre 6 et 17 ans, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) recommande une heure d’activité par jour, la crise sanitaire actuelle ne fait que renforcer cette inquiétude concernant les répercussions de l’enfermement et de la sédentarité. Selon Ruediger Krech, chargé de la promotion de la santé à l’OMS, « Si nous ne restons pas actifs, nous courons le risque de créer une autre pandémie de mauvaise santé ». En attendant, la sophrologie peut être une méthode qui convient aux enfants pour décharger leur stress. N’hésitez pas à consulter le sophrologue le plus proche de chez vous.

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Source : https://www.lunion.fr/id230268/article/2021-02-06/coronavirus-sans-la-soupape-de-lactivite-sportive-les-meninges-en-danger