burn-out

Épuisement professionnel : Les signes à ne pas ignorer après les vacances

La période des vacances est souvent un moment propice pour remettre son quotidien en question. Que ce soit au niveau professionnel ou personnel. C’est le moment où l’on se pose mille questions sur son quotidien, ses valeurs, ses aspirations et pour faire un point sur sa vie. Lorsque l’on est en burnout, en arrêt de travail, c’est un temps pour se poser ces questions en version plus approfondies.

Combien de personnes ou peut-être vous-même ont déjà été confrontées à ces questions ? Qu’est ce que m’apporte mon travail au quotidien ? (Si la liste des inconvénients est plus longue que celle des atouts, il est sans doute temps de vous poser ces questions :

  • Suis-je à ma place dans ce poste ?
  • Suis-je trop investi(e) en rapport avec la reconnaissance que l’on a de mon travail ?
  • Les valeurs de l’entreprise sont-elles toujours en adéquation avec les miennes ?
  • Est-ce que j’accorde trop de temps à mon activité professionnelle et délaisse peu à peu mes amis, ma famille et mes activités personnelles ?
  • Mes qualités sont-elles mises en valeur et reconnues par mon manager ?

Si durant cet été vous vous êtes posés toutes ces questions, ou bien d’autres encore, il est peut-être temps de demander un rendez-vous à votre manager et/ou votre DRH pour faire un point sur votre situation ou bien encore faire un bilan de compétences pour vous aider à y voir plus clair.

Malgré vos temps de repos durant les vacances, vous n’avez peut-être pas réussi à couper avec le travail (partir sans votre ordinateur et votre portable pro étaient inenvisageable) et chaque matin vous aviez du mal, beaucoup de mal à vous lever. Vous aviez peut-être même moins de plaisir que d’habitude à partager du temps avec vos proches. Vous étiez peut-être là sans être là…
Votre corps vous a envoyé des signes de fatigue par le biais de douleurs.
Et la veille de la reprise, votre corps vous envoie encore plus de signaux, vous avez mal au ventre, à la tête, des inflammations parcourent votre corps, des brûlures d’estomac, etc… Et l’idée d’y retourner demain ne vous enchante vraiment pas… Bref, le tableau n’est pas très gai !

Avant de partir, tous les signaux étaient au rouge et pourtant vous avez décidé d’aller voir ailleurs si l’herbe était plus verte et si votre mental allait pouvoir s’apaiser. Vous pensiez pourtant que l’eau turquoise et les palmiers allaient vous faire tout oublier mais plus vous vous rapprochiez du dernier jour de ces vacances, et plus vous sentiez les symptômes s’intensifier dans votre corps. Et le jour J du retour, la boule au ventre et les maux de tête vous empêchent d’être au mieux.

Il est probable que vous étiez en phase de burn-in avant de partir et que le déni a été plus fort que vous car votre corps vous rappelle maintenant à l’ordre. Si vous désirez éviter le mur et l’effondrement total, il est peut-être temps de répondre favorablement à vos besoins et vos aspirations profondes plus en phase avec votre être.

Si votre mental prend toujours le dessus, il est sûrement temps de vous prendre en main et vous faire accompagner pour passer cette période plus sereinement. Le burnout ne se règle pas en trois semaines et les questions fondamentales que vous vous êtes posées durant ce temps de vacances peuvent vous aider à guider votre futur proche et surtout vous éviter d’expérimenter le mur à la rentrée.
Pour un accompagnement psychocorporel individuel, il vous suffit de prendre rendez-vous directement ici : https://urlr.me/hv9jD

Pour un accompagnement pluridisciplinaire avec des groupes de parole (le prochain a lieu ce samedi 24 août à Epinay-sous-Sénart en Essonne et en visio sur la thématique de la victimisation de 17h à 19h) et des ateliers pluridisciplinaires, il est possible de contacter le Collectif burnout soit au 06 98 66 86 70 ou sur collectifburnout@gmail.com

Bien-être, burn-out, QVCT

Prévenir le burnout : l’importance de la déconnexion pendant les vacances

Le temps des vacances est peut-être venu pour certains d’entre vous ou terminé pour d’autres. Le temps d’enfin se poser mentalement, physiquement et émotionnellement. De laisser les soucis de côté pour certains mais pour d’autres, ceux qui traversent un burnout, le temps des vacances ne suffira pas à gommer la fatigue accumulée depuis des années. Et pour éviter cela, s’accorder des temps de pause régulier est primordial.

Les vacances, un moyen de ralentir le « hamster » ?

Le burnout, ou épuisement professionnel, est un mal de notre société moderne touchant 2,5 millions personnes actuellement en France (Source https://www.has-sante.fr/jcms/c_436647/fr/institut-de-veille-sanitaire). En tant que sophrologue et praticienne en massage psychocorporel spécialiste de l’accompagnement du burnout, je souhaite mettre en lumière l’importance de la déconnexion pendant les vacances pour prévenir ce phénomène néfaste et favoriser le bien-être au travail.

Les effets du stress chronique : Le stress chronique lié au travail peut entraîner des effets dévastateurs sur la santé mentale et physique. L’épuisement professionnel, la perte de motivation, les troubles du sommeil et la baisse de l’estime de soi ne sont que quelques exemples des conséquences du burnout.

Les bienfaits de la déconnexion : Déconnecter pendant les vacances permet de prendre du recul par rapport au travail, de se ressourcer et de recharger ses batteries. C’est une occasion de se recentrer sur soi, de pratiquer la pleine conscience et de prendre soin de son bien-être mental et physique.

Conseils pour une déconnexion efficace et éviter le burnout

  1. Planifiez vos vacances à l’avance et informez vos collègues de votre absence.
  2. Limitez l’utilisation des appareils électroniques et des emails professionnels pendant les vacances.
  3. Pratiquez la relaxation, la méditation, la sophrologie, le massage ou le yoga pour favoriser la détente et la déconnexion.
  4. Profitez de la nature, des activités de loisirs et du temps passé en famille ou avec des amis pour vous ressourcer tout en renforçant les hormones en « ine » ocytocine, dopamine, endorphine, sérotonine.

En prenant soin de vous toute l’année et en vous accordant des moments de déconnexion pendant les vacances, vous contribuez à prévenir le burnout, à maintenir un équilibre sain entre vie professionnelle et personnelle, et à cultiver votre bien-être global. Tout est question de dosage ! Bonnes vacances.
Pour toute demande d’accompagnement, vous pouvez prendre rendez-vous directement sur https://urlr.me/CtPjz

Plage de la Dune du Pilat ©Annie Fouksmann
association, Bien-être, burn-out, Congrès

La résilience, un concept encore flou ?

Après avoir assisté aux 3e journées sur la résilience professionnelle, j’ai envie de vous partager ma conception de la résilience. Lors de cette journée, qui avait lieu à l’école des Mines de Paris le 8 février dernier, la définition donnée de la résilience a d’abord été purement mécanique (un matériau déformé qui retrouve sa forme originale). Il en est autrement de la résilience personnelle ou professionnelle car après un « accident » de la vie, la forme originale n’est jamais retrouvée. Ces expériences de vie font grandir et nous changent à jamais.

Une expérience de vie résiliante

Après avoir écouté lors de cette journée le conte de Malek A. Boukerchi sur sa façon personnelle de résilier en tant que marathonien de l’extrême, j’aimerai vous conter, à ma manière, ma vision de la résilience.

Il était une fois… lors d’une séance de visualisation où il était demandé de trouver un événement positif pour mettre à distance un autre négatif. Il m’est alors venue l’idée du Petit Prince qui, dans mon histoire, avait atterri sur une dune de sable, s’était mis à creuser pour faire jaillir l’eau puis reprit son avion pour repartir plus léger et libéré.
J’ai alors voulu expérimenter cette visualisation dans la vie réelle et décida de partir en vacances à la Dune du Pilat avec pour ferme intention de me libérer d’un poids et de laisser derrière mois ce qui ne m’était plus utile en gravissant cette dune.
Après avoir passé une journée de baignade à la plage, profité des stigmates des dessins laissés sur le sable, du défilé des parapentistes en pointe de dune, la nuit approchait et mon fils et moi décidâmes de rentrer.
Alors que le vent se levait, la nuit commençait à tomber, nous débutâmes l’ascension de cette dune qui nous paressait (à l’un, comme à l’autre) insurmontable. Plus nous nous rapprochions du sommet, plus la peur grandissait de ne pas retrouver son chemin et surtout de subir l’orage qui grondait de plus en plus. Nous apercevions quelques personnes au loin mais le vent nous ralentissait pour atteindre le sommet. Nous arrivâmes à questionner quelqu’un pour savoir si le parking était bien en face de l’autre côté de la dune et la personne nous répondit : « Je ne sais pas, descendez et vous questionnerez les gens en bas ». Nous voilà donc à dévalez la pente glissante sous la tempête qui commençait à se lever. Nous avions passé ce cap fatidique du sommet mais je me rendis bien compte que la descente n’allait pas se faire dans la simplicité…

Nous arrivâmes en bas de la Dune avec une tempête très menaçante cette fois, et partîmes à la rencontres des premières personnes en bas pour les questionner. Nous étions arrivés dans un camping multilingue et nous comprîmes vite que le français n’était pas compris. La peur était bien là et les mots en anglais avait du mal à sortir. Un peu plus loin, nous rencontrâmes un couple de Bretons et les questionnons à leur tour sur l’emplacement du parking. Ils nous rétorquèrent : « Le parking est à 1,5 km en nous indiquant la direction vers la gauche » puis nous entamâmes le chemin dans la nuit noire cette fois avec la peur au ventre que la tempête nous transperce en 3 minutes. Avec le petit, il était difficile de sprinter sur 1,5 km dans le noir…
Puis ce couple revint à notre rencontre et nous précisa qu’il n’allait pas nous laisser partir seuls comme ça dans le noir avec le ciel menaçant. C’est alors qu’ils nous prirent dans leur voiture et qu’ils nous accompagnèrent jusqu’au parking. Nous les remerciâmes vivement car ils venaient de nous apporter une grande aide. En descendant de la voiture, la tempête était arrivée et il ne nous fallut pas moins de 5 minutes pour être trempés jusqu’aux os.

Moralité de cette histoire : même quand vous sentez que tout espoir est perdu, que vous n’y arriverez pas, que les éléments extérieurs se dressent contre vous, l’Humanité qui bat dans le coeur de chacun d’entre nous pour aider l’autre et éclairer son chemin. Un sourire, une main tendue, il suffit parfois de peu pour changer le destin. Alors j’ai envie de dire à mes lecteurs, ouvrez les yeux vers l’autre, tendez-lui la main car toutes ces petites attentions peuvent éviter de se retrouver dans la tempête du burnout.

Ci-dessous, les photos prises sur la plage ce jour-là. Pleines de symboles… Dans la première, j’y vois une femme sans tête, la deuxième des flammes, la troisième un bonhomme dansant et la quatrième les stigmates de tout cela. Passer par le burnout ne serait-il pas le symbole de cette composition ?

Bien-être, burn-out, salon

Un mois de mars plein de salons bien-être

Les jours prochains seront riches en actualité pour Annie F. Sophrologie massage. En effet, ce samedi 4 mars, je serai présente sur le salon du bien-être au féminin de Lieusaint (77) https://www.facebook.com/SalonBienEtreAuFeminin/?locale=fr_FR avec du massage sur chaise en version 15 ou 25 minutes. En 15 minutes, vos dos, nuque, crânes, visage, bras, mains auront la chance d’être relaxés. Pour une détente totale du corps y compris les jambes, ce sera une séance de 25 minutes en sit-up massage. Et ce à prix tout doux 15 euros les 15 minutes et 25 euros les 25 minutes. A 15h, j’aurai également le plaisir d’animer une conférence sur la thématique du burn-out si chère à notre collectif de thérapeutes de l’association Collectif burn-out dont je suis la présidente. Ainsi, vous pourrez en savoir plus sur la prévention et l’accompagnement du burn-out qui touche actuellement 1 cadre sur 2 en France.

Le 5 mars, je serai présente pour la deuxième fois sur le salon Golden Business de Villabé https://www.instagram.com/salon_golden_business2 où je proposerai également du sit-up massage pour les femmes présentes sur place.

Le 8 mars, toujours en sit-up massage, ce sera la Pépinière de Yerres https://pepinieredeyerres.org/ qui m’accueillera dans le cadre de la journée Internationale du droit des femmes pour apporter du bien-être aux femmes qui occupent les lieux.

Et le 25 mars, ce sera avec l’association Transm’être https://assotransmetre.fr/ que je proposerai une prestation de découverte du massage sit-up lors d’un atelier découverte l’après-midi à la ferme de Chalandray à Montgeron.

Un beau mois de mars en perspective.

Si vous souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à me contacter au 06 98 66 86 70 ou à vous abonner à cette page pour suivre mon actualité.

bonne année, burn-out, enfants atypiques, parentalité, seniors

Un bel envol pour 2022

En cette nouvelle année, je voudrais tout d’abord remercier toutes les personnes qui m’ont fait confiance en 2021 et pour lesquelles des changements ont commencé ou ont opéré dans leur vie. Les propositions ont été variées entre les ateliers sophrologie et parentalité, les ateliers parents-enfants, celui sur les émotions pour les assistantes maternelles, celui pour les mamans solos sur les enfants atypiques, des sophrolobalades puis les accompagnements individuels. Pour 2022, j’axerai également mon accompagnement sur les personnes en burn-out en lien avec La bulle de repos. Je vous en dis un peu plus très vite.

Quoi qu’il en soit, pour 2022, je vous souhaite beaucoup de lumière pour rallumer les étoiles, d’amour pour réchauffer les cœurs, de rires, de joie, et surtout de profiter du moindre instant comme si c’était la première fois.

Belle année à vous tous !

burn-out, parentalité

Annie F. Sophrologie, un an déjà !

1 an aujourd’hui ! Cela fait déjà un an qu’a démarrée cette belle aventure de Annie F. Sophrologie. Durant cette année, j’ai eu à coeur d’accompagner au mieux toutes les personnes qui sont venues à ma rencontre avec grand plaisir. Après un an, l’envie est encore plus grande et je vais maintenant axer mes accompagnements sur le burn-out (un projet est en cours à ce sujet et je vous en parle très bientôt), l’entreprise, les enfants, la parentalité et également les sportifs. J’accueille bien évidemment toutes les autres personnes avec plaisir. Et puis mon engagement avec SOS Sophro (cette permanence téléphonique que j’assure gratuitement le lundi matin pour apporter mon aide plus rapidement). J’envisage également de développer le massage sur table et sur chaise. Je suis à votre disposition au 06 98 66 86 70. A très vite !

burn-out

Proche du burn-out ? Testez-vous !

En ces temps de crise sanitaire, les salariés mais également les parents, les enfants subissent tellement de pression qu’ils finissent par tomber… au fond du gouffre. Si vous avez l’impression d’être surmené, d’avoir du mal à supporter la pression, du mal à dormir et d’être surpassé complètement, n’attendez pas, testez-vous sur le site de ma partenaire « La Bulle de repos » qui propose une prise en charge spécifique : https://www.labullederepos.com/eviter-le-burn-out-nous-avons-des-solutions/

Ayant fait du burn-out une spécialisation, je vous accompagne en sophrologie et massage aussi bien au cabinet qu’en visio pour vous permettre d’y voir plus clair. Vous pouvez me contacter au 06 98 66 86 70, je vous accueillerai avec plaisir.

Photo de Anna Tarazevich sur Pexels.com

burn-out, Entreprise

Le burn-out : les salariés au bord du gouffre !

Le burn-out touche pas moins de 20 % des salariés au sortir de ce confinement sans fin. Au domicile, les temps de travail ont été rallongés, les vies de famille bousculées, les nerfs mis à mal et la grande question actuelle : comment va se passer le retour en entreprise ? Le travail à distance va-t-il devenir la norme ? Le temps partiel en entreprise sera-t-il préconisé ? L’éloignement des salariés de leur lieu de travail pour conserver un cadre de vie plus apaisé sera-t-il de mise ? Quoi qu’il en soit, les modes de vie ont été totalement chamboulés par cette crise. Ainsi, l’isolement des salariés hyperconnectés, la sur-stimulation due à l’éloignement des équipes, la gestion plus importante du quotidien en parallèle n’ont fait qu’amplifier le stress. La sophrologie et le massage sont de bons moyens de remédier à ce phénomène de société qui ne cesse d’accroître.

Comment prévenir le burn-out en 5 points

Connaître la maladie

Il est important de repérer les signes du burn-out suffisamment en amont car plus la maladie avance, plus il est difficile de se relever après. En voici quelques-uns facile à observer :

  • un manque ou un excès de sollicitation ;
  • trop peu ou pas de reconnaissance du travail accompli ;
  • la perte de contacts sociaux ;
  • le sentiment de perte de contrôle ;
  • un conflit de valeur…

En voici quelques conséquences :

  • une grande fatigue qui ne passe pas même après des vacances ;
  • des troubles du sommeil ;
  • une irritabilité ;
  • une agressivité ;
  • des aigreurs d’estomac ;
  • des douleurs continues qui peuvent être catégorisées de chroniques ;
  • une perte de concentration ;
  • des ruminations…

Elle concerne particulièrement les personnes qui abordent le travail avec beaucoup d’enthousiasme et d’entrain qui se transforme en épuisement général. Un taux important est également relevé chez les hypersensibles.

Améliorer l’environnement de travail

  • Un environnement de travail sain est important car sur la longueur, l’accumulation de stress fragilise grandement le corps jusqu’à l’épuisement total.
  • La cohésion d’équipe permet au salarié de trouver sa place et d’être inscrit dans une dynamique de travail valorisante.

Mieux organiser le travail du collaborateur

  • Mieux organiser le travail du collaborateur en lui donnant toutes les cartes pour réaliser dans les meilleures conditions possible sa mission en insistant sur l’amélioration de la communication. Proposer par exemple de quantifier l’équilibre vie professionnelle et personnelle tout en proposant des leviers lorsque ce problème est repéré chez un salarié.

Ouvrir le dialogue

  • Faire en sorte de sortir du tabou du burn-out en essayant de l’anticiper et de le résoudre avant qu’il ne soit trop tard.
  • Le dialogue concernant le stress doit être établi à tous les niveaux hiérarchiques et pris suffisamment en compte. Cette prévention doit intervenir sur les 4 phases de ce phénomène à savoir l’alarme, la résistance, la rupture et enfin l’épuisement.

Apprendre à le gérer

Dans un premier temps, un rendez-vous médical est primordial et des techniques comme la sophrologie peuvent aider à surmonter cette phase. Si dans un deuxième temps, un retour au travail est amené à se faire, il est important de le travailler en amont également en entreprise. Un aménagement de la charge de travail et un renforcement du soutien par l’équipe est indispensable.

Ce phénomène qui prend beaucoup trop d’ampleur ne peut plus être nié. De cette façon, il est important non seulement de prévenir en entreprise mais également, en tant que collaborateur d’apprendre à mieux gérer son temps, prendre du recul face à des situations compliquées et de s’initier au lâcher prise. La sophrologie est une méthode facile d’accès qui, pratiquée au quotidien, permet de gérer son stress et ses émotions. En tant que spécialiste du burn-out, je peux proposer des séances en entreprise. N’hésitez pas à me contacter au 06 98 66 86 70 pour de plus amples informations.

burn-out

Le burn-out parental, un sujet encore tabou

Après la diffusion de l’émission Zone Interdite du 7 février dernier (https://www.stars-actu.fr/2021/02/zone-interdite-du-dimanche-7-fevrier-2021-sommaire-et-reportages-de-ce-soir/) sur le sujet, plusieurs parents se sont reconnus dans ce sentiment. Certains en arrivent à craquer tellement la pression est forte. Il peut arriver d’entendre « Je crie après les enfants pour rien. Je leur dis que j’ai envie de faire mes valises, de me tuer pour être tranquille. » ou encore « Je pleurais sous la douche pour que personne ne me voie. Ma famille n’est pas au courant de tout ça. » Ces cas ne sont pas rares et ces personnes surchargées par la pression de la société, le besoin d’être la meilleure mère ou père, le meilleur au travail… entrainent une surcharge mentale telle que les parents craquent. Et si nous en revenions à la gestion des émotions au fur et à mesure et à l’ici et maintenant pour éloigner cette pression. Si vous ou quelqu’un de votre entourage est dans ce cas, n’hésitez pas à consulter en sophrologie. Il s’agit d’une méthode naturelle qui vous permettra de gérer au mieux la situation. Pour prendre rendez-vous, vous pouvez me contacter au 06 98 66 86 70.

burn-out, Littérature

Un livre à vous couper le souffle

« Je ne te pensais pas si fragile » est un récit glaçant de ce qu’a subi l’auteure de ce livre (Kikka) dans son cadre professionnel (https://kikkaauteure.fr/livres-eyrolles-je-ne-te-pensais-pas-si-fragile). Ce livre est criant de vérités. Si vous souhaitez vous rendre compte au plus près de ce qu’est le burn out, je vous recommande cette lecture qui ne vous laissera pas indifférent(e). Elle a choisi de sillonner la France au volant de son combi Wolskvagen pour sensibiliser la population à la souffrance au travail. Si elle passe près de chez vous, n’hésitez pas à venir la rencontrer, elle vous contera son histoire et vous redonnera la pêche tellement son envie de surpasser et même dépasser cette période est immense.

Je vous en recommande la lecture.