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Une mise en avant sophrologique

Par cet article, je souhaite aujourd’hui rendre hommage à mon école de sophrologie de coeur : le CEAS Paris. Cette école qui m’a porté ainsi que mes 15 autres collègues pendant 2 ans durant lesquelles nous avons cheminé à notre rythme sur ce parcours sophrologique à la découverte de la phénoménologie et des ressentis corporels. Au fil de la pratique, j’ai progressé, ressenti, ajusté et exploré la vivance. Grâce à Géraldine Durand, Darcy Martins et tous les formateurs et formatrices, nous avons vibré et partagé un bout de chemin intense. Par cet écrit, je souhaite aujourd’hui leur rendre hommage d’autant que dans le journal Sophro Réso de l’école, mon portrait est ce mois-ci mis en avant. Une manière pour vous de découvrir mon parcours qui m’a mené à la sophrologie et la manière dont j’ai évolué avec cette pratique. Si vous souhaitez vous former à la sophrologie en toute bienveillance, je ne peux que vous encourager à contacter cette école qui propose par ailleurs des spécialisations avec des experts dans chaque domaine.

Un grand merci au CEAS Paris !

Plage de la Dune du Pilat ©Annie Fouksmann
association, Bien-être, burn-out, Congrès

La résilience, un concept encore flou ?

Après avoir assisté aux 3e journées sur la résilience professionnelle, j’ai envie de vous partager ma conception de la résilience. Lors de cette journée, qui avait lieu à l’école des Mines de Paris le 8 février dernier, la définition donnée de la résilience a d’abord été purement mécanique (un matériau déformé qui retrouve sa forme originale). Il en est autrement de la résilience personnelle ou professionnelle car après un « accident » de la vie, la forme originale n’est jamais retrouvée. Ces expériences de vie font grandir et nous changent à jamais.

Une expérience de vie résiliante

Après avoir écouté lors de cette journée le conte de Malek A. Boukerchi sur sa façon personnelle de résilier en tant que marathonien de l’extrême, j’aimerai vous conter, à ma manière, ma vision de la résilience.

Il était une fois… lors d’une séance de visualisation où il était demandé de trouver un événement positif pour mettre à distance un autre négatif. Il m’est alors venue l’idée du Petit Prince qui, dans mon histoire, avait atterri sur une dune de sable, s’était mis à creuser pour faire jaillir l’eau puis reprit son avion pour repartir plus léger et libéré.
J’ai alors voulu expérimenter cette visualisation dans la vie réelle et décida de partir en vacances à la Dune du Pilat avec pour ferme intention de me libérer d’un poids et de laisser derrière mois ce qui ne m’était plus utile en gravissant cette dune.
Après avoir passé une journée de baignade à la plage, profité des stigmates des dessins laissés sur le sable, du défilé des parapentistes en pointe de dune, la nuit approchait et mon fils et moi décidâmes de rentrer.
Alors que le vent se levait, la nuit commençait à tomber, nous débutâmes l’ascension de cette dune qui nous paressait (à l’un, comme à l’autre) insurmontable. Plus nous nous rapprochions du sommet, plus la peur grandissait de ne pas retrouver son chemin et surtout de subir l’orage qui grondait de plus en plus. Nous apercevions quelques personnes au loin mais le vent nous ralentissait pour atteindre le sommet. Nous arrivâmes à questionner quelqu’un pour savoir si le parking était bien en face de l’autre côté de la dune et la personne nous répondit : « Je ne sais pas, descendez et vous questionnerez les gens en bas ». Nous voilà donc à dévalez la pente glissante sous la tempête qui commençait à se lever. Nous avions passé ce cap fatidique du sommet mais je me rendis bien compte que la descente n’allait pas se faire dans la simplicité…

Nous arrivâmes en bas de la Dune avec une tempête très menaçante cette fois, et partîmes à la rencontres des premières personnes en bas pour les questionner. Nous étions arrivés dans un camping multilingue et nous comprîmes vite que le français n’était pas compris. La peur était bien là et les mots en anglais avait du mal à sortir. Un peu plus loin, nous rencontrâmes un couple de Bretons et les questionnons à leur tour sur l’emplacement du parking. Ils nous rétorquèrent : « Le parking est à 1,5 km en nous indiquant la direction vers la gauche » puis nous entamâmes le chemin dans la nuit noire cette fois avec la peur au ventre que la tempête nous transperce en 3 minutes. Avec le petit, il était difficile de sprinter sur 1,5 km dans le noir…
Puis ce couple revint à notre rencontre et nous précisa qu’il n’allait pas nous laisser partir seuls comme ça dans le noir avec le ciel menaçant. C’est alors qu’ils nous prirent dans leur voiture et qu’ils nous accompagnèrent jusqu’au parking. Nous les remerciâmes vivement car ils venaient de nous apporter une grande aide. En descendant de la voiture, la tempête était arrivée et il ne nous fallut pas moins de 5 minutes pour être trempés jusqu’aux os.

Moralité de cette histoire : même quand vous sentez que tout espoir est perdu, que vous n’y arriverez pas, que les éléments extérieurs se dressent contre vous, l’Humanité qui bat dans le coeur de chacun d’entre nous pour aider l’autre et éclairer son chemin. Un sourire, une main tendue, il suffit parfois de peu pour changer le destin. Alors j’ai envie de dire à mes lecteurs, ouvrez les yeux vers l’autre, tendez-lui la main car toutes ces petites attentions peuvent éviter de se retrouver dans la tempête du burnout.

Ci-dessous, les photos prises sur la plage ce jour-là. Pleines de symboles… Dans la première, j’y vois une femme sans tête, la deuxième des flammes, la troisième un bonhomme dansant et la quatrième les stigmates de tout cela. Passer par le burnout ne serait-il pas le symbole de cette composition ?

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Des ateliers en groupe pour la rentrée

Déjà finies les longues soirées au bord de la plage, la farniente et le temps pour soi. Mais vous aimeriez vous accorder des temps pour vous plus souvent. Cette année, vous aurez de multiples possibilités de prendre du temps pour vous, prendre de la distance face aux situations, gérer votre stress, vos émotions. Pour cela je vous propose de nous retrouver sur deux créneaux pour les adultes avec des thématiques comme la gestion des émotions, la confiance en soi, la gestion de la douleur, le sommeil… : le mardi matin de 9h30 à 10h30 à la salle de l’ancienne mairie à Epinay-sous-Sénart (avec l’association de yoga Ocarina) , le mercredi de 18h à 19h à mon cabinet du 12 rue du Levant. Un créneau pour tout public le samedi matin de 10h45 à 12h15 à la Mac d’Epinay-sous-Sénart avec la Compagnie des Mistigris où le travail sera centré sur la gestion des émotions, la corporalité, la confiance en soi. Et enfin un créneau en petit groupe de 3 pour les enfants à mon cabinet du 12 rue du Levant le mercredi après-midi de 14h à 15h. Ainsi, petits et grands auront le choix de pratiquer en groupe. Pour tout renseignement, me contacter au 06 98 66 86 70.

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SOS SOPHRO au service de la gestion du stress

A l’instigation de Caroline Gras Pomerede, sophrologue dans le Sud-Ouest de la France, le réseau SOS SOPHRO est une permanence sophrologique, gratuite et téléphonique pour aider et accompagner les personnes en souffrance (https://www.sossophro.fr/). Plus de 200 sophrologues se mobilisent bénévolement tous les jours de la semaine pour vous. Cette prise en charge est basée sur l’écoute et des réponses sophrologiques simples et faciles d’accès. Elle permet, en ces temps difficiles, de libérer la parole mais également de pratiquer des exercices de sophrologie pour relâcher les tensions. N’hésitez pas à me consulter lors de ma permanence téléphonique du lundi matin de 9h à 11h30 au 06 98 66 86 70.

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Sophro’Téléthon

Quand apnée et sophrologie se rencontrent pour le Téléthon mais en visio.

Le 4 décembre dernier, j’ai eu l’occasion d’animer une séance de sophrologie en visio avec le club d’apnée de Brunoy (https://www.neptune-club-brunoy.fr/) dans lequel j’interviens habituellement. Plusieurs apnénistes étaient au rendez-vous pour pratiquer ou repratiquer car, comme vous le savez tous, depuis la fermeture des piscines, les entraînements ne sont plus possibles. Ce fut une soirée chaleureuse où la détente a été au rendez-vous. Tous les dons pour le Téléthon (https://www.afm-telethon.fr/fr) ont été l’occasion de reverser la somme de 150 euros en faveur de cette association qui lutte contre les myopathies.
Nous étions tous d’accord pour se donner rendez-vous au plus vite mais au bord de la piscine cette fois pour de meilleures sensations. Prenez tous soin de vous.