Bien-être, burn-out, QVCT

Prévenir le burnout : l’importance de la déconnexion pendant les vacances

Le temps des vacances est peut-être venu pour certains d’entre vous ou terminé pour d’autres. Le temps d’enfin se poser mentalement, physiquement et émotionnellement. De laisser les soucis de côté pour certains mais pour d’autres, ceux qui traversent un burnout, le temps des vacances ne suffira pas à gommer la fatigue accumulée depuis des années. Et pour éviter cela, s’accorder des temps de pause régulier est primordial.

Les vacances, un moyen de ralentir le « hamster » ?

Le burnout, ou épuisement professionnel, est un mal de notre société moderne touchant 2,5 millions personnes actuellement en France (Source https://www.has-sante.fr/jcms/c_436647/fr/institut-de-veille-sanitaire). En tant que sophrologue et praticienne en massage psychocorporel spécialiste de l’accompagnement du burnout, je souhaite mettre en lumière l’importance de la déconnexion pendant les vacances pour prévenir ce phénomène néfaste et favoriser le bien-être au travail.

Les effets du stress chronique : Le stress chronique lié au travail peut entraîner des effets dévastateurs sur la santé mentale et physique. L’épuisement professionnel, la perte de motivation, les troubles du sommeil et la baisse de l’estime de soi ne sont que quelques exemples des conséquences du burnout.

Les bienfaits de la déconnexion : Déconnecter pendant les vacances permet de prendre du recul par rapport au travail, de se ressourcer et de recharger ses batteries. C’est une occasion de se recentrer sur soi, de pratiquer la pleine conscience et de prendre soin de son bien-être mental et physique.

Conseils pour une déconnexion efficace et éviter le burnout

  1. Planifiez vos vacances à l’avance et informez vos collègues de votre absence.
  2. Limitez l’utilisation des appareils électroniques et des emails professionnels pendant les vacances.
  3. Pratiquez la relaxation, la méditation, la sophrologie, le massage ou le yoga pour favoriser la détente et la déconnexion.
  4. Profitez de la nature, des activités de loisirs et du temps passé en famille ou avec des amis pour vous ressourcer tout en renforçant les hormones en « ine » ocytocine, dopamine, endorphine, sérotonine.

En prenant soin de vous toute l’année et en vous accordant des moments de déconnexion pendant les vacances, vous contribuez à prévenir le burnout, à maintenir un équilibre sain entre vie professionnelle et personnelle, et à cultiver votre bien-être global. Tout est question de dosage ! Bonnes vacances.
Pour toute demande d’accompagnement, vous pouvez prendre rendez-vous directement sur https://urlr.me/CtPjz

Plage de la Dune du Pilat ©Annie Fouksmann
association, Bien-être, burn-out, Congrès

La résilience, un concept encore flou ?

Après avoir assisté aux 3e journées sur la résilience professionnelle, j’ai envie de vous partager ma conception de la résilience. Lors de cette journée, qui avait lieu à l’école des Mines de Paris le 8 février dernier, la définition donnée de la résilience a d’abord été purement mécanique (un matériau déformé qui retrouve sa forme originale). Il en est autrement de la résilience personnelle ou professionnelle car après un « accident » de la vie, la forme originale n’est jamais retrouvée. Ces expériences de vie font grandir et nous changent à jamais.

Une expérience de vie résiliante

Après avoir écouté lors de cette journée le conte de Malek A. Boukerchi sur sa façon personnelle de résilier en tant que marathonien de l’extrême, j’aimerai vous conter, à ma manière, ma vision de la résilience.

Il était une fois… lors d’une séance de visualisation où il était demandé de trouver un événement positif pour mettre à distance un autre négatif. Il m’est alors venue l’idée du Petit Prince qui, dans mon histoire, avait atterri sur une dune de sable, s’était mis à creuser pour faire jaillir l’eau puis reprit son avion pour repartir plus léger et libéré.
J’ai alors voulu expérimenter cette visualisation dans la vie réelle et décida de partir en vacances à la Dune du Pilat avec pour ferme intention de me libérer d’un poids et de laisser derrière mois ce qui ne m’était plus utile en gravissant cette dune.
Après avoir passé une journée de baignade à la plage, profité des stigmates des dessins laissés sur le sable, du défilé des parapentistes en pointe de dune, la nuit approchait et mon fils et moi décidâmes de rentrer.
Alors que le vent se levait, la nuit commençait à tomber, nous débutâmes l’ascension de cette dune qui nous paressait (à l’un, comme à l’autre) insurmontable. Plus nous nous rapprochions du sommet, plus la peur grandissait de ne pas retrouver son chemin et surtout de subir l’orage qui grondait de plus en plus. Nous apercevions quelques personnes au loin mais le vent nous ralentissait pour atteindre le sommet. Nous arrivâmes à questionner quelqu’un pour savoir si le parking était bien en face de l’autre côté de la dune et la personne nous répondit : « Je ne sais pas, descendez et vous questionnerez les gens en bas ». Nous voilà donc à dévalez la pente glissante sous la tempête qui commençait à se lever. Nous avions passé ce cap fatidique du sommet mais je me rendis bien compte que la descente n’allait pas se faire dans la simplicité…

Nous arrivâmes en bas de la Dune avec une tempête très menaçante cette fois, et partîmes à la rencontres des premières personnes en bas pour les questionner. Nous étions arrivés dans un camping multilingue et nous comprîmes vite que le français n’était pas compris. La peur était bien là et les mots en anglais avait du mal à sortir. Un peu plus loin, nous rencontrâmes un couple de Bretons et les questionnons à leur tour sur l’emplacement du parking. Ils nous rétorquèrent : « Le parking est à 1,5 km en nous indiquant la direction vers la gauche » puis nous entamâmes le chemin dans la nuit noire cette fois avec la peur au ventre que la tempête nous transperce en 3 minutes. Avec le petit, il était difficile de sprinter sur 1,5 km dans le noir…
Puis ce couple revint à notre rencontre et nous précisa qu’il n’allait pas nous laisser partir seuls comme ça dans le noir avec le ciel menaçant. C’est alors qu’ils nous prirent dans leur voiture et qu’ils nous accompagnèrent jusqu’au parking. Nous les remerciâmes vivement car ils venaient de nous apporter une grande aide. En descendant de la voiture, la tempête était arrivée et il ne nous fallut pas moins de 5 minutes pour être trempés jusqu’aux os.

Moralité de cette histoire : même quand vous sentez que tout espoir est perdu, que vous n’y arriverez pas, que les éléments extérieurs se dressent contre vous, l’Humanité qui bat dans le coeur de chacun d’entre nous pour aider l’autre et éclairer son chemin. Un sourire, une main tendue, il suffit parfois de peu pour changer le destin. Alors j’ai envie de dire à mes lecteurs, ouvrez les yeux vers l’autre, tendez-lui la main car toutes ces petites attentions peuvent éviter de se retrouver dans la tempête du burnout.

Ci-dessous, les photos prises sur la plage ce jour-là. Pleines de symboles… Dans la première, j’y vois une femme sans tête, la deuxième des flammes, la troisième un bonhomme dansant et la quatrième les stigmates de tout cela. Passer par le burnout ne serait-il pas le symbole de cette composition ?

Bien-être, burn-out, salon

Un mois de mars plein de salons bien-être

Les jours prochains seront riches en actualité pour Annie F. Sophrologie massage. En effet, ce samedi 4 mars, je serai présente sur le salon du bien-être au féminin de Lieusaint (77) https://www.facebook.com/SalonBienEtreAuFeminin/?locale=fr_FR avec du massage sur chaise en version 15 ou 25 minutes. En 15 minutes, vos dos, nuque, crânes, visage, bras, mains auront la chance d’être relaxés. Pour une détente totale du corps y compris les jambes, ce sera une séance de 25 minutes en sit-up massage. Et ce à prix tout doux 15 euros les 15 minutes et 25 euros les 25 minutes. A 15h, j’aurai également le plaisir d’animer une conférence sur la thématique du burn-out si chère à notre collectif de thérapeutes de l’association Collectif burn-out dont je suis la présidente. Ainsi, vous pourrez en savoir plus sur la prévention et l’accompagnement du burn-out qui touche actuellement 1 cadre sur 2 en France.

Le 5 mars, je serai présente pour la deuxième fois sur le salon Golden Business de Villabé https://www.instagram.com/salon_golden_business2 où je proposerai également du sit-up massage pour les femmes présentes sur place.

Le 8 mars, toujours en sit-up massage, ce sera la Pépinière de Yerres https://pepinieredeyerres.org/ qui m’accueillera dans le cadre de la journée Internationale du droit des femmes pour apporter du bien-être aux femmes qui occupent les lieux.

Et le 25 mars, ce sera avec l’association Transm’être https://assotransmetre.fr/ que je proposerai une prestation de découverte du massage sit-up lors d’un atelier découverte l’après-midi à la ferme de Chalandray à Montgeron.

Un beau mois de mars en perspective.

Si vous souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à me contacter au 06 98 66 86 70 ou à vous abonner à cette page pour suivre mon actualité.

Bien-être, Congrès, Entreprise, Evénement sportif, massage sur chaise, QVCT, salon

Le massage sur chaise (sit-up massage) : un moyen de se détendre rapidement

Cette fin d’année a été riche en interventions sur des salons (salon Tropical à Villeneuve-saint-Georges, salon des associations à Corbeil-Essonnes, salon Golden Business à Lisses, salon du bien-être à la ferme de Chalandray de Montgeron avec l’association Transm’être), au congrès d’Info’com CGT à la bourse du travail à Paris, pour Grand Paris Sud lors d’une journée bien-être à destination des femmes en difficulté à Etiolles ou encore en entreprise (cabinet Fico SA à Paris). En seulement 15 minutes, les corps peuvent déjà se délasser. Ce moment suspendu permet aux massés un temps pour soi et une reconnexion à leur corps qu’ils ont tendance souvent à mettre de côté. Les retours sont souvent bluffants. D’ailleurs certains me disent souvent vous avez réussi à me permettre de me déconnecter très rapidement alors que d’habitude il me faut beaucoup plus de temps pour me détendre. Les sourires en retour s’avèrent être une véritable récompense pour moi.

Le massage sit-up qu’est-ce que c’est ?

C’est un massage sur chaise ergonomique qui est proposé sur une durée de 15 minutes (dos, nuque, crâne, visage, bras) ou 25 minutes (dos, nuque, crâne, visage, bras, jambes). C’est à la fois un massage régénérant et relaxant qui, au moyen de respirations, permet un meilleur relâchement. Tout comme le Gestalt massage, un temps de prise de contact, un temps de plein massage puis un temps de post contact est observé.

Si vous avez aussi recherchez ce genre de prestation en entreprise dans le cadre de la QVCT, lors de salons pour la découverte ou encore sur des congrès ou événements sportifs, n’hésitez pas à me contacter au 06 98 66 86 70 pour de plus amples renseignements.